Max était un crève-la-faim lorsqu’il peignait Iris. Aujourd’hui, ses tableaux s’arrachent à des prix auxquels il n’aurait jamais osé rêver. Iris, journaliste politique, a passé ces deux dernières années à oublier son histoire avec Max. Mais confrontée un soir à cet homme qu’elle a tant aimé autrefois, Iris se heurte à une réalité terrifiante : Max ne la reconnaît pas. Vengeance ? Désespoir ? Amnésie ? Comment ont-ils pu devenir deux étrangers l’un pour l’autre, avec ces souvenirs qu’elle est désormais seule à partager ?

JC Lattès, 244 pages, 19 € (roman)


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Après des polars remarqués, de Pavillon 38 à L’Année du rat, Régis Descott change de registre avec ce conte cruel sur l’amour et l’oubli.

Iris se retrouve dans une drôle de situation : son ex ne la reconnaît ni d’Eve ni d’Adam, et la voilà comme dépossédée d’elle-même et d’une partie de sa vie. Elle va enquêter pour comprendre cet oubli inexplicable. Finalement, peut-on choisir les souvenirs que l’on veut oublier, l’oubli même est-il possible ? Une quête amoureuse émouvante et éprouvante.